...il va y en avoir d'autres. Embarcadero vend une fois de plus un produit non-fini en faisant payer les utilisateurs pour achever ses développements. Et les performances annoncées sont loin d'être au rendez-vous. Je pense qu'un programme sous Java avance plus vite qu'un programme sous Firemonkey !
RAD Studio XE2 a commencé à tourner convenablement vers le mois de mai 2012 après une sortie en septembre 2011.
RAD Studios XE3 devrait être opérationnel au mois de mai 2013 ? juste avant la sortie de RAD Studio XE4.
En gros, Embarcadero nous prend pour des pigeons (c'est à la mode en ce moment). J'ai acheté Delphi1, Delphi2, Delphi3, Delphi4, Delphi5, Delphi6, Delphi7, pas Delphi8 (faut pas déconner), 2005, 2006, 2007, 2010, XE2 et XE3. Finalement, tout bien réfléchi, il faudrait acheter une version sur 4. Donc, au lieu de sortir des versions inutiles et mal finies, une version tout les 3 ans suffirait largement et permettrait peut-être d'avoir des produits de qualité comme on en a une fois tous les 3 ou 4 ans (Delphi 2 - Delphi 5 - Delphi 7 - 2006 - 2010 ou XE).
Bref y'en a marre, et ce n'est pas une question d'argent mais d'énergie et de temps perdu. Les fournisseurs de bibliothèques sont obligés d'avancer à marche forcée pour maintenir la compatibilité entre les versions au détriment des nouveautés. Nous perdons un temps précieux à essayer de mettre en oeuvre des choses inutilisables qui sont abandonnées d'une version sur l'autre.
Même les développeurs chez Borland-Inprise-Borland-Codegear-Embarcadero doivent y perdre leur latin. Y'a que David I qui tient le choc

Hors le développement logiciel a besoin de stabilité et de pérennité pour produire des applications de qualité. Visual Studio sort tous les deux ou trois ans. Un signe d'intelligence de la part de Microsoft.
Je reste attaché à Delphi avec la VCL qui permettent de faire de bonnes applications de base de données rapidement. Mais Embarcadero ferait mieux de faire de la qualité au lieu de faire de l'argent.
Je retourne sous Delphi 2010 et je continue à regarder ce qui se passe en me méfiant des superlatifs du marketing d'Embarcadero. Un peu d'humilité ne leur ferait pas de mal.
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